Allez on commence cela par une bonne nouvelle ! Pour une fois dans ma vie j’ai été premier, j’étais le spermatozoïde gagnant ! Tout le monde peut se le dire c’est vrai mais qui y passe réellement de s’en vanter ? Je suis surement le seul. Issue d’une famille nombreuse j’avais la chance d’avoir la meilleure place, le petit dernier. J’étais le cadet d’une famille de cinq enfants. Il y avait que des filles, sauf moi bien sur ! Bien que j’avais la fichu tendance à me maquiller et déguiser. Oh ! Ce n’était rien de bien méchant mais ayant une absence total de personne masculine autour de moi. Voir ma mère et mes quatre sœurs prendre soin de leur corps eut pour effet de jouer sur mon comportement. Mon père travaillaient énormément pour pouvoir nourrir ses enfants, oh ! Je le comprend et je lui en veux pas. Si j’ai mal tourné ce n’est pas de sa faute. Au contraire, il a toujours montré le droit chemin à ses enfants. Je suis pas non plus un mauvais garçon, c’est vrai après tout au lycée j’étais un garçon plutôt populaire grâce à mon côté sociable, je suis gentil et adorable avec les gens. Je sais, vous allez vous dire encore l’un de ses garçons qui a eu la grosse tête ! Hum … Bon oui peut-être. Je sais que je suis mignon, je sais que je suis adorable, je sais que je fais craquer les filles avec mon petit côté naïf. Je sais que je suis populaire. Mais non, j’ai pas eu un problème technique sur ce point là. Ma petite faiblesse fut de tomber sur un jeune homme qui me perturba énormément. A vrai dire cette personne était mon premier amour. Oui, le premier amour est toujours inoubliable. Il a tendance à nous faire vivre des moments impossible à oublier, qui reste graver à notre cœur, sur notre corps. Pour ma part cette amour toucha beaucoup mon corps. J’ai commencé à mon tourner à ses côtés et ne voyant pas le mal que je pouvais provoquer. Je me détruisais lentement, doucement. Sans jamais réellement réaliser ce qu’il pouvait m’arriver. Drogue, alcool, sexe et rock’n’roll. C’était le cas de le dire, je trainais avec eux. Je fessais plus vraiment attention aux autres. Je croyais tout ce que mon cher amour pouvait me dire, le suivant stupidement en fermant les yeux. Je l’aurais suivais jusqu’au bout du monde aimant cette amour imaginaire qu’il m’offrait. Je n’étais pas malheureux sur le coup ne me rendant pas compte réellement de ce qu’il se passait autour de moi. Toutefois, malgré le fait que je trainais avec lui je restais le même. Tout le monde croyait que j’étais toujours le même. Après tout, je n’avais pas changé comment comprendre que je me détruisais un peu plus chaque instant pas simple à voir.
Et le jours où je me suis fais larguer arriva rapidement bien trop à mon gout. Ca fait mal, y’a de doute surtout de retomber sur terre et qu’on vous avoue qu’on était avec vous uniquement parce que votre ‘petite gueule d’ange, le dégoute’ et que son seul souhait avait été de salit ma belle réputation. Douleur, tristesse et déprime semblait prendre par au quotidien de ma vie. Ah ! Non je vous vois venir à tout de suite penser que mon histoire ce finit ainsi ! J’ai fais une grosse mais vraiment grosse bêtise et j’étais de nouveau ici. Non voyons, cela serait trop simple. J’avais juste quinze ans quand il m’a laissé tomber pour une blonde platine car oui, apparemment il n’aimait pas les hommes. Enfin, je suis persuadé du contraire malgré le fait qu’il pourrait le jurer sur la tête du premier venu pour qu’il meurs de suite. Il avait tendance à parfois avoir des petits signes qui montrait bien que être avec un autre homme n’étais pas si déplaisant pour lui. Mais, nous n’allons pas entrer dans ce genre de détail cela ne serait pas réellement intéressant. Deux ans sont passés durant lesquels je reprenais doucement gout à la vie. J’étais entouré par mes amis de toujours qui m’entourés. Bref, un vrai petit rêve, je sortais, vivais, m’amusais. Et surtout, je continuais de croire bêtement les autres, les suivant de bon cœur. Jusqu’au soir où ma naïveté me reconduisait tout droit dans les bras de mon premier amour. Tout à mal tourné à partir de ce moment là… Mais une chose est sur. Je ne croirais plus aussi facilement ce que pourrons me dire les gens, je serais même parfois méfiant. J’ai pas envie de revivre cela. J’en ai honte au fond …