Invité Invité  | | Ce message a été posté le :Mar 31 Aoû - 18:53 | |
|  JUN TODA Feat Kim(Hero) Jae Joong
{Niveau I - Niveau II - Niveau III}
'barrez mention inutile.'
(c)Crédit | Bonjour, je me présente... Mon nom est Jun Toda. Je suis âgé de seize ans, enfin dix sept ans très prochainement. Aller, je vous fait part de ma date d'anniversaire juste pour vous lancer des tomates quand vous oublierez. Âgé de dix sept ans le 21.09.10; Et oui, les dix huit ans arrivent et vous savez ce que ça signifie pour moi? Un nouveau monde, une nouvelle vie, une liberté... J'ai tellement hâte vous vous-imaginez? Être libre de ses choix, des décisions personnelles, qui ne regardent plus que vous, à prendre. Le réel bonheur va s'ouvrir à moi, en attendant je vis ma vie et croyez-moi elle n'est pas si belle ma vie... J'arrête de vous en raconter trop sur moi sinon je n'aurais plus rien à vous dire. Oh ! J'oubliais, juste un dernier détail. Je suis célibataire et ouvert à n'importe quelle vie amoureuse. Enfin non pas vraiment, vous dire que je suis homosexuel serait vous avouer mon secret. Oups, suis-je stupide? Oui, je crois bien. Néanmoins, hors de question de le dire, dans un internat les rumeurs courent vite. Prenez-en garde.
Pseudo du joueur ; Jey
Ton Âge ; 17 ans
Ton sexe ; Jeune demoiselle. =)
Présence ; 3/7, je suis moi-même en internat.
Code du règlement ; Il n'y en a pas. HAHA LE PIEGE. 
Comment avez vous connu le forum ? Par un partenaire je sais plus vraiment sur quel forum. EN TOUT CAS COUP DE COEUR. <3
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♫ IL PARAIT QU'ON EST LIBRE DE PENSER, LIBRE DE FAIRE CE QUE L'ONT SOUHAITE, QUITTE A EN SUBIR LES REPRÉSAILLES PAR LA SUITE. ALORS POURQUOI MES PARENTS M'ONT ENVOYÉ ICI ?
En réalité tout débuta à ma naissance mais je ne crois pas que ce chapitre soit très nécessaire, évidemment qu’il est important mais en soit, je pense qu’il m’est possible de vous faire rattraper le train en route.
Nous sommes le premier septembre 2004, le jour de ma rentrer dans la cour des grands. Enfin, c’est ce à quoi je pensais lorsque j’étais plus jeune. En classe de sixième, j’étais plutôt le garçon seul dans la cour, timide qui ne connaissait pas grand monde et qui avait une peur bleu de l’inconnue. Très vite j’ai su changer, m’adapter aux autres et à l’environnement qui m’entourait. Je suis assez influençable, du moins je l’étais. Ah ! Je me souviens encore de ces années collèges particulièrement difficile. Comme je vous le racontais, au collège j’ai été influencé. Je me suis entouré des mauvaises personnes, ils me traînaient dans des actes qui ne me ressemblaient pas. J’étais devenu un délinquant, qui aurait deviné que je l’avais été ? Personne. J’étais une toute petite boule d’énergie qui ne savait pas comment s’exprimer et qui, donc, utilisait les mauvais moyens. A cet âge vous savez, il est très difficile de communiquer. Ca n’a duré qu’une seule année, ce n’était pas plus tôt que la quatrième, tout à dérapé. J’ai commencé à fumer, à me droguer, à participer à des actes de délinquances. Je fumais très peu au début mais très vite c’est devenu de manière régulière et j’ai su que c’était trop tard, je pouvais plus m’en sortir. J’étais dans le faux, complètement aveuglé par mes « mauvais » copains. On formait une bande dont il était interdit d’en sortir, c’était presque comme une secte. Quand mes parents ont découvert cette personne en moi, ils étaient extrêmement surpris. En réalité je cachais bien mon jeu, l’image que je donnais était celle d’un garçon responsable, net, ambitieux, honnête, … Tous les adjectifs qui font d’un garçon un ange. Seulement ce n’était pas moi. Ils sont devenus vert d’angoisse puis rouge de colère. J’ai compris que c’était la fin, qu’il fallait vraiment que je change. Et j’ai tout fait pour ! Je suis fier de moi car j’ai réussis.
On dit souvent : Ne jamais crier victoire trop vite. J’en ai fait l’expérience. Ce dicton est très juste. J’ai ouvert les yeux, ils étaient restés trop longtemps fermés. Avec beaucoup d’effort, j’ai réussit à me délivré de l’indépendance que j’avais acquis en fumant tous ce qu’ils me donnaient. De toute façon, je n’avais plus de quoi en acheter, mes parents m’avaient presque coupé les vivres. Quand j’ai annoncé aux copains que s’en était fini pour moi, je suis devenu leur souffre-douleur et cela jusqu’à ce que je quitte ce collège. Je ne me suis jamais posé la question si c’était mieux de les quitter et de devenir leur nouveau joujou ou de rester avec eux tout en fonçant droit dans le mur. Je n’ai fait aucun choix, la décision appartenait plus à mes parents qu’à moi. D’ailleurs ça m’a arrangé, pour une foi. Je me suis délivré d’eux. Retour en arrière, le garçon timide était revenu. C’était comme une nouvelle rentrée. Méconnaissable, changé, devenu un garçon respectueux, charismatique, travailleur, j’étais… hum comment disaient-ils ? L’enfant prodige, euh non pardon, l’enfant exemplaire ou bien alors le préférés des professeurs. Je me comportais comme un adulte bien qu’encore jeune j’étais doté d’une maturité plus important e à cet âge. Je me suis même découvert une attirance particulière, quelque chose ressentit de tout nouveau mais nous en sommes pas encore là. Avant de vous raconter cet élément assez important de ma vie, il faut que je mentionne d’autre moment. Sur terre il existe deux catégories de personne (en général), les personnes sympathiques et les personnes antipathiques. J’avais, à l’époque, le don d’attirer les personnes néfastes. Quelle malchance ! Ce qui est par rapport à mon expérience de quatrième c’est que j’ai su sélectionner les bonnes personnes. Je différencie très vite les délinquants des autres gens. Et à présent je suis moins influençable, dieu soit loué ! En troisième j’ai rencontré de nouvelles personnalités et me suis fait des amis, bon d’accord très peu mais tous autant important. Je m’entendais vraiment bien avec eux, c’est rassurant d’être entouré. Je doutais plus des choix que mes parents avaient fait pour moi, à vrai dire j’étais bien plus heureux qu’avec cette bande de drogués qui malgré tout continuait à me bizuter. Même si j’étais devenu le garçon sage qui laissait faire en ignorant j’avais un mal fou à me contrôler. La voix dans ma tête qui me disait « respire, respire… » L’emportait toujours sur l’autre qui me disait « saute lui dessus, arrache lui les tripes, venge-toi et que ça cesse une foi pour toute. » Ne jamais dire toujours, comme ne jamais dire jamais.
C’était un jour où ils avaient poussés le bouchon un peu trop loin, comme dirait ma grand-mère. Ils étaient arrivés tous en même temps, au moment le plus incommode. Je me trouvais dans les toilettes des garçons… Bon vous savez tous ce qu’on y fait, pas besoin de vous donner des détails. A peine ai-je eu le temps de remonter mon caleçon et mon pantalon qu’ils m’ont portés et m’ont accroché au porte manteau. Inutile de vous dire que j’étais mal à l’aise. J’ai réussis à m’en sortir en m’agrippant à la porte où était situé le porte manteau.
Ce jour, je n’ai plus supporté.
« SAUTE LUI DESSUS, ARRACHE LUI LES TRIPES, VENGE-TOI ET QUE CA CESSE UNE FOI POUR TOUTE. »
La voix l’avait remporté. Je ne me contrôlais plus, je voulais leur montrer que moi aussi j’étais capable de leur en foutre plein la vue. Sans même chercher à élaborer un plan de combat, je suis sauté sur l’un des leurs. Aplatit par terre, il me suppliait de le laisser tranquille. Il était à la limite de pleurer je n’ai rien pu lui faire… J’avais pitié de lui ! Je me suis relevé et je lui lancé au visage.
« Tu me fais pitié »
C’est sortit tout seul. Il s’est relevé puis est sorti en courant. Peut-être par peur, mais peut-être qu’il voulait rattraper ses copains qui l’avaient abandonné sans repenti. Tu parle, des amis… Je me sentais mieux enfin légèrement mieux. Seulement ils recommencèrent, apparemment je ne m’étais pas attaquer au « chef ». Ils n’avaient pas compris.
Cette foi-ci était bien pire, je ne souhaite même pas vous la raconter. J’étais enragé, je me suis jeté sur l’un d’entre eux, à coup de poing violent que je lançais à toute force sur la figure de celui à l’origine de tout ça. Il saignait, des points de sutures à l’hôpital, mon renvoi définitif de cette école. Ils avaient gagnés et moi j’avais perdu. Mes parents avaient pris du temps à me faire à nouveau confiance, j’avais tout gâché. C’était de ma faute, je me sentais coupable et je m’en voulais terriblement. Leur seul fils, leur fils unique…
Je les entendais discuter, ils parlaient de mon avenir. J’avais du mal à entendre tous les détails mais j’entendais le plus essentiel.
« Si ça continue comme ça il va finir en prison, pour possession de drogue ou bien alors pour meurtre ! » disait mon père en criant.
« Mais non, tu sais très bien qu’il a changé. Si tu parlais un peu plus avec lui tu t’en serais aperçut. Tout ceci n’est qu’un malentendu. Ces garçons s’en prenaient à lui à longueur de journée. Il s’est juste défendu… Qui sait jusqu’où ils seront allés s’il ne s’était pas défendu. »
« Peu-importe, les études avant TOUT. Il s’est fait renvoyer. Tu entends, renvoyer ! »
« Nous trouverons une solution »
Tous ces cris étaient devenus qu’un brouhaha.
Le lendemain matin ses parents étaient venus le voir pour lui annoncer qu’ils avaient fait un choix radical.
« Ecoute-moi Jun, on pense que la meilleur solution pour toi c’est de t’envoyer en internat. Hier soir nous avons fait des recherches. Nous avons trouvé un internat très rigoureux mais assez éloigné. Nous viendrions te voir tous les deux mois et tu y resteras le week-end. C’est à Ayagara, en campagne, un lieu très sympathique. Nous sommes sure que tu t’y sentiras bien et que les gens là-bas t’accueilleront très gentiment. »
« Si vous pensez bien faire… Seulement vous savez que vous m’enlevez tous ce que j’ai de plus cher ! Mes amis et … »
Il ne fini pas sa phrase mais il savait de quoi il voulait parler. Parmi ses amis, il avait un copain qu’il appréciait particulièrement, de façon plus approfondit que amical. Il avait découvert ses sentiments à son égard depuis un paquet de temps mais ce Miyu avait déjà une copine et en plus il n’était pas du même bord que lui.
« Nous le savon, mais tu verras… Hum tu t’en feras également à Ayagara. »
« Très bien, je vous fait CONFIANCE »
moi pensait-il.
C’est comme ceci que débuta une seconde vie à Ayagara. Il finit par avoir un caractère différent dès l’entrée dans cet internat. Courageux, gentil, serviable, fidèle, loyal, intelligent, extraverti, sociable, charismatique, attentif, respectueux, extrêmement protecteur envers les filles… C’est un autre Jun qui débarqua dans cette école.
Dernière édition par Jun Toda² le Mer 1 Sep - 1:48, édité 10 fois |
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Invité Invité | | Ce message a été posté le :Mar 31 Aoû - 20:28 | |
| Oui bien sûr ;D.
L'autre Jun, n'a toujours pas commencé sa fiche, si tu l'as fini avant lui s'est toi qui prend le personnage ;D. |
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Invité Invité | | Ce message a été posté le :Mer 1 Sep - 0:58 | |
| Oui, j'ai enfin terminer j'espère que ça va plaire à ceux qui vont lire dites-moi si il y a quelque chose qui ne va pas. =)MERCI A TOUS POUR L'ACCUEIL.  |
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