Qu’est-ce une famille dont l’autorité est primordiale ? Ou le respect des ancêtres doit êtres respectés. Non seulement le respect, mais aussi l’obligation de ne pas détruire une réputation qui dure depuis des siècles.

Takashi est un nom se portant sur de nombreuses lèvres au Japon. Cette famille portant honneur à l'univers de la justice en tant qu'avocat, policier, juge, enquêteur et bien d'autres. Il s'agit d'une famille qui possèdent en t'autre des règlements fixes enfin que chaque enfant peuvent y parvenir.

Un : aucune sortie après 7 heures, deux : aucun petit(e) ami(e), trois : les cours à blanc sera primordial, quatre : tu participeras aux activités après des cours tels que : violon, piano, natation, équitation, soccer etc…, cinq : tu ne pourras sortir que le dimanche pendant une période de deux heures et pour terminer six : tu devras être au lit pour 8:30 pm.

Voilà les règlements de la réussite ! Pour cette famille ‘’si’’ spécial.

Sunako grandit dans une famille de cinq enfants. Chacun d'entre eux n'étais que des jeunes garçons qui suivaient déjà les lois de la maisonnette. Pour la jeune demoiselle ceux-ci apparaissent quand les cloches des quatre ans apparus enfin. Elle commença donc le violon et le piano, mais pour elle les deux heures de liberté le dimanche se transforma en deux heures de travaux ménagés tels que : la cuisine, le ménage. Elle ne pouvait avoir aucun amis. Quand elle rentra dans l'académie privée de Chei no kata (la maison de la sagesse)aucun enfants ne jouait toutes étaient assis et regardais l'enseignant. Malgré cela un sourire d'amusement s'appropria de Sunako-chan a chaque. Elle ne pouvait rester assise sans rien n'écrire et l'information resta en elle. Sa faculté d'apprentissage lui permettra en moins d'un ans de monter dans une classe plus élevé pour les enfants surdoués. D'une intelligence et d'une gentillesse admirable, la demoiselle aida ses coéquipiers qui ne comprenaient rien.

Elle rentra toujours au foyer et apercevait sa mère réprimandé son frère Shun qui n'avait eu que 90 sur 100 en autre il était classé parmi les 10 meilleures de l'établissement Chie No Kata(maison de la sagesse) .Mais pour elle c'était le contraire, car elle n'avait que cinq ans et ayant déjà monté d'une classe et changé de département, elle n'avait que des 100 sur 100 et les rares fois qu'elle obtenait 99 sur 100 elle était traitée d'idiote par sa famille. Ses frères disent d'elle qu'elle est d'une pureté et d'une naïveté extrême, son père qu'elle est l'intelligence même... toutefois sa mère ne pense pas cela. Demandé à MoonHye-san comment est sa demoiselle... '' Ma fille, une gamine trop gâté pourrie qui n'est qu'une fille à son papa. Elle n'est bonne a rien, ha non ! Jamais capable de prendre des notes dans ses cours, elle est trop petite, elle n'a rien d'une coréenne. Elle ne possède même pas la beauté de ma famille. Elle possède des yeux trop larges, des lèvres trop rosé. Elle n'est pas capable de voir la vie d'un autre côté. Elle vit dans son propre monde. Elle fait souvent sa fière...'' et ça continue ainsi. Mais ne vous trompez pas, car la japonaise/coréenne est une personne raisonnable, fiable, rigolote, tête de cochon même à cet âge et même aujourd'hui...

Grandissant et vivant pleinement sa vie, elle avait quitté a 10 le Japon pour étudier en France pendant deux ans pour par la suite étudier au Canada pendant un ans avant de partir pour l'Angleterre pour revenir au bout d'un ans au Japon. Mademoiselle avait 15 ans et rentra dans une nouvelle. Elle avait étudié l'anglais, le français pendant plus de six ans avant de revenir dans son pays adorée. Non seulement la langue, mais sa mère ne l'avait pas quittée. L'inscrivant dans des cours de cuisines françaises et anglaises pour par la suite étudiées de nouveaux la musique (piano et violon). Les gens l'ignoraient, car elle ne pouvait consacrer une journée pour eux. De retour dans le pays du soleil levant, elle apprend que deux de ses frères avait quitté la maison. Sui un des plus vieux était à l'université de Kyoto pour devenir avocat tendis que Yui était à Osaka pour devenir policier et elle...

Elle devait supporter les nouvelles lois du foyer. Sa mère ne désirant guère que sa fille va dans une école employa un homme du nom de Misoko-sensei pour lui apprendre ses leçons.

Son enseignant la critiquait toujours '' soit plus douce sur ton piano'' ou attention tu écris trop rapidement et affreusement'' ou des '' N'ai-je pas dis que vous devriez noter les explications donnés''.

C'était assez ! Pour cette demoiselle qui se donnait corps et âme à ses parents, elle ne pouvait plus supporter les insultes et les réprimandes. Elle fit glisser ses bras sur la longue table afin de faire tombé tout le matériel. Montant dans les marches sa mère l'attrapa par le bras et la réprimandant tout en la frappa. Sunako qui n'affichait que des sourires depuis 16 ans et ne se laissait plus abattre fit une chose d'incroyables qui déçois la famille au complet.

Trois jours plus tard, ses valises et un billet de train l'apporta dans un pensionnat qu'elle détesta amplement. Mais cette demoiselle au cœur meurtrie décida de ne plus se faire avoir et d’être maintenant elle-même… gentille, artistique et directe.